Atelier sur les mécanismes de responsabilité et d’enquête liés aux violations du droit international humanitaire et du droit international des droits de l’homme : le rôle du Conseil de sécurité – passé et futur.
La Mission permanente du Portugal auprès de l’Organisation des Nations Unies, le Bureau de la coordination des affaires humanitaires (BCAH) et l’Institut international de la Paix ont organisé le 1er novembre 2011 à New York un atelier à l’occasion de la présidence du Portugal au Conseil de sécurité. Son sujet était le suivant : mécanismes de responsabilité et d’enquête liés aux violations du droit international humanitaire et du droit international des droits de l’homme : le rôle du Conseil de sécurité – passé et futur.
La Commission internationale humanitaire d’établissement des faits (CIHEF) était représentée par l’une de ses vice-présidentes, Elżbieta Mikos-Skuza, et sa représentante à New York, Mateya Kelley.
L’une des tables rondes portait sur les mécanismes d’établissement des faits. La vice-présidente, Madame Mikos-Skuza, a pris la parole durant la discussion pour présenter la CIHEF et insister sur ses avantages par rapport aux mécanismes ad hoc. La commission a été consultée de manière informelle sur différents problèmes liés à des missions potentielles, y compris la mort du colonel Kadhafi.
Ci-joint la déclaration de la vice-présidente Elżbieta Mikos-Skuza.